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Interférences entre les compteurs micro-ondes d'HydroQuébec et les routeurs WiFi Par Christian Duchesne Depuis l'instal...

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Interférences entre les compteurs micro-ondes d'HydroQuébec et les routeurs WiFi Par Christian Duchesne

Depuis l'installation des compteurs « intelligents » d'Hydro-Québec, les plaintes de panne de communication électronique, auprès d’au moins un fournisseur Internet important ainsi que les retours d’appareils WiFi, auraient augmenté de manière pratiquement exponentielle selon plusieurs sources indépendantes. Après vérification, il appert qu’effectivement, le phénomène est bien réel. Hormis le fait que ces pannes de transmission Internet causent bien des impatiences aux personnes, il est nécessaire à mon avis, d’aller plus loin dans nos interrogations à propos des causes profondes de ces phénomènes indésirables, voire nuisibles. Selon la science, un tel phénomène de « brouillage » électromagnétique ne peut se produire que pour une seule raison : c'est que nous avons atteint un niveau de saturation électromagnétique (micro-ondes et numérique) important. 1 Par conséquent, selon mes études en électromagnétisme et en propagation des ondes, un tel niveau de saturation engendre des phénomènes de multiplication des fréquences par hétérodynage aux seins des molécules conductrices et surtout semiconductrices de maints matériaux dont l’eau, qui est présente pour ainsi dire partout, sur Terre, dans les êtres vivants et dans l'atmosphère. 2 Or, nous savons par des dizaines de millions d’expériences de laboratoire que des phénomènes de « battement » et d'apparition de « bandes latérales fréquentielles » induisent une multiplication des fréquences dans l’environnement. Il faut aussi savoir que tout phénomène d’absorption puis de transduction implique des pertes par rayonnements infrarouges (chaleur). Et puisque, curieusement, les WiFi et autres pollueurs électromagnétiques modernes sont ajustés sur les harmoniques des fréquences de résonance de l'eau, qu'elle soit liquide, solide ou gazeuse, et que l’eau est présente partout, nous nous retrouvons avec une multiplication des fréquences en lien avec les harmoniques fréquentielles citées par la double loi mathématique suivante :

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Comment cela peut-il être possible alors qu’il y a une agence canadienne de surveillance des interférences électromagnétiques? Il serait peut-être utile d’investiguer plus à fond cette bizarrerie… 2 http://www.arehn.asso.fr/dossiers/pollution/pollution_electromagnetique.html

Fig. 1 3

… ainsi, nous obtenons la séquence spectrale suivante :

Fig. 2

… ce qui nous donne une autre représentation spectrale de sortie, ci-dessous (avec un faible pourcentage des harmoniques illustrées) :

Fig. 3

3

Le terme « Fimage » de la fig. 1, signifie « fréquence image ». La fréquence image est une fréquence porteuse dédoublée dans un système hétérodyne.

On constate qu’effectivement, à partir de deux fréquences d’entrée, on retrouve à la sortie, deux fois plus de fréquence et une multitude de nouvelles harmoniques. On sait que la multiplication des fréquences (et des puissances) entraîne des pertes par échauffement dans les matériaux où se produit l’hétérodynage, dont l’eau. Ces phénomènes d'échauffement sont définis selon la loi mathématique et physique suivante 4 :

P = Π2 × e2 Bmax2 f 2 6 ρ Fig. 4

Ce que nous révèle la première formule (Fig. 1) est que l'hétérodynage produit deux fois plus de fréquence à la « sortie » qu'à « l'entrée » (et cela, sans compter la multiplication presque anarchique des harmoniques spéciales causées par les nouvelles ondes numériques). Par conséquent, la multiplication des fréquences et indubitablement des puissances, en raison de l'arrivée des compteurs d'Hydro Québec (et de milliards d’autres appareils émetteurs), entraîne la multiplication des phénomènes de résonance et nous savons que les résonances produisent des élévations spectaculaires des niveaux d’énergie au sein des molécules et des matériaux. Vous pouvez constater un exemple extrême d’un phénomène de résonance mécanique sur le site suivant : https://www.youtube.com/watch?v=3mclp9QmCGs Ce qu’il y a d’inquiétant ici, c’est que cette prolifération des fréquences, de la puissance et des résonances électromagnétiques, produit des échauffements (Fig. 4) des éléments suivants : tissus biologiques et tout ce qui contient de l'eau et cela quelque soit la forme de cette eau : solide (glace et neige), gazeuse (vapeur) et évidemment liquide. Or, tous les êtres vivants existent par l’eau. Mais il y a pire, et cela est très inquiétant. Comme vous avez pu le constater mathématiquement, l’hétérodynage 5 produit des fréquences plus élevées que les deux fréquences initiales, par conséquent, selon la loi de la longueur d’onde, plus celle-ci est petite ou courte, et plus les dommages aux chromosomes (aux cellules 4

Pour les ondes sinusoïdales. Mais, pour les ondes « carrées », donc numériques, le phénomène est pire, car s’ajoute alors un autre phénomène qui est le « rebondissement électromagnétique ». Phénomène qui produit des crêtes de hautes fréquences transitoires. Ces crêtes (peak) sont destructrices et doivent être systématiquement éliminée dans tous les circuits électroniques. 5 Ce phénomène peut aussi être provoqué par des ondes mécaniques et acoustiques.

vivantes) sont grands. C’est pour cette raison que les rayons X sont plus dommageables que les micro-ondes. Cependant, comme vous ne recevez que quelques doses de rayons X dans toute votre vie, le problème ne se quantifie pas de la même manière qu’avec les micro-ondes dans lesquelles nous sommes immergés 24 / 24 et 7 / 7. Le fait d’être en présence permanente de micro-ondes est capital à comprendre. Pour vous donner un exemple concret. Les normes d’exposition aux rayonnements ionisants ainsi que les normes d’expositions aux radios fréquences (RF) ont constamment évolué au cours du temps. L’Histoire démontre que cette évolution a toujours été directionnelle vers une diminution des taux d’exposition biologique en fonction des puissances d’émission et du temps. En fait, l’histoire démontre que ces « quotas » étaient toujours trop élevés dans le passé. Un exemple concret, dans le domaine de la radiologie (rayons X) 6 on peut constater dans le graphique suivant que les normes de 1927 sont à 550 mSv 7 , pour passer à 440 mSv en 1934, puis à 150 mSv en 1949 et 50 mSv en 1956 pour finalement atteindre 20 mSv en 1990.

Source : Radioprotection en milieu médical; Y. – S. Cordoliani et H. Foehrenbach; Édition Masson; nov. 2005, p. 3. ISBN 2-294-05475-X;

Or, ce qui est tragique dans le cas des micro-ondes (WiFi, cellulaires, iPad, Hydro Québec, etc) c’est qu’on s’évertue à ne pas vouloir tenir compte des temps d’exposition, ce qui est totalement contraire à la méthode et aux lois des sciences physiques et médicales. 6

Soit des rayonnements dont la longueur d’onde est juste en deçà de celle des ultraviolets, ou si vous préférez, des rayonnements dont les fréquences sont au dessus de celles des ultraviolets. 7 Les mSv = millisievert. Note : 1 rem = 10 mSv (10 millisievert = dix millième de sievert).

Ce que j'ai énoncé ici n’est ni une hypothèse ni une théorie, mais il s'agit de lois, de faits vérifiés par la science et que j'ai moi-même expérimenté en laboratoire à l’aide d’analyseurs de spectre. 8

Christian Duchesne Ex-enseignant électronique Directeur de la recherche pour IonKinétic

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http://www8.umoncton.ca/umcm-cormier_gabriel/Electrotechnique/Chap7.pdf (Sauf pour les dommages chromosomiques induits par les micro-ondes qui ont été vérifiés par des chercheurs en biologie humaine et en médecine).